Petit jeu rp

[hrp] Je vous proposes un petit jeu rp, pour ceux qui veulent. Je vais écrire une phrase, et chacun de ceux qui veulent participer. Vous en écrirez une (pas plus) a la suite et en "copier/coller" au fur et a mesure le texte du post du dessus.
Et comme ca au fur et mesure des phrases de chacun, nous vérrons bien ou ca nous mèneras. Pas besoin que les phrases suivent un chemin linéaire. A chacun de faire partir l'histoire dans le sens qu'il veut.
Je commence......[/hrp]


La pièce était éclairée par milles chandeliers, la lueur des flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les murs de couleur blanc crème....

Mako a écrit:

La pièce était éclairée par milles chandeliers, la lueur des flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les murs de couleur blanc crème....

La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des ages..

La pièce était éclairée par milles chandeliers, la lueur des flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des ages..


L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ....

La pièce était éclairée par milles chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des ages..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ....

La pièce était éclairée par milles chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des ages..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.

La pièce était éclairée par milles chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des ages..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et crystalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La pièce était éclairée par milles chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des ages..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et crystalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardé l'homme d'un air froid. Il se dégagé de son regard haine et mépris.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystèrieuse femme le transpercer.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystèrieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte souvrit dans un grand fracas !

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystèrieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte souvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son baton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son baton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade, mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à toutes épreuves.

]La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son baton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade, mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son baton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade, mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laisser place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant " alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant " alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant " alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne voyais que l'ombre éclairé a la bougie